Une semaine après la parution de l’arrêté renforçant le contrôle des travaux financés par les certificatsd’économies d’énergies (CEE), les représentants des énergéticiens et des intermédiaires alertent sur lesdifficultés d’application sur le terrain de la politique de rigueur de l’exécutif. L’arsenal de lutte contre les fraudesse renforce en effet chaque année : la volonté était clairement exprimée dans la loi Énergie-climat de 2019, patente depuis un arrêté de mars 2020 et se durcit avec la nouvelle reforme pour 2022.